Une mère élabore un stratagème machiavélique pour submerger sa belle-fille de 3 ans : les révélations effroyables

Un stratagème inattendu contre sa belle-fille : les révélations choc d'une manipulation machiavélique.

Une histoire tragique se déroule au Brésil, suscitant l’incompréhension et l’horreur. Suzana Dazar dos Santos, une femme de 34 ans, fait face à des accusations d’homicide volontaire après la noyade de sa belle-fille de 3 ans, Isabelly Oliveira Assuncao. Les événements se sont déroulés le 7 mai 2022, lorsque la petite fille se trouvait chez son père à Cascavel, dans le sud du pays. Cet incident soulève des questions troublantes sur les circonstances de la mort de la fillette.

Un stratagème machiavélique pour submerger sa belle-fille

Isabelly vivait principalement avec sa mère, mais passait les vendredis et samedis chez son père. Ce jour-là, alors que ce dernier était au travail, Suzana Dazar dos Santos était chargée de la garde de l’enfant. Les détails de l’enquête révèlent que la noyade d’Isabelly ne pourrait pas être un simple accident. En effet, la petite fille a été retrouvée inconsciente dans un lave-linge en marche. Le médecin légiste a confirmé qu’elle est morte par noyade, mais les éléments les entourant laissent suspecter une intention criminelle.

Les enquêteurs ont découvert des preuves qui pointent vers une ruse préméditée. Tous les jouets préférés d’Isabelly se trouvaient dans le lave-linge, et un marchepied avait été positionné juste à côté. Ces éléments suggèrent une manipulation de la part de Suzana.

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Le parquet de Paraná affirme que l’accusée savait parfaitement ce qu’elle faisait. Un porte-parole a récemment expliqué : « L’accusée avait prévu de causer la mort de la victime. Elle a installé le marchepied, mis les jouets dans l’eau, puis laissé Isabelly sans surveillance. »

La défense de Suzana Dazar dos Santos

Face à ces accusations graves, Suzana Dazar dos Santos maintient son innocence. Elle affirme que la noyade de la petite fille n’était qu’un accident malheureux. Ses avocats, Paulo Hara Junior et Suelane Gundim, soulignent que les charges qui pèsent contre elle sont « exagérées ». Selon eux, il n’existe aucune preuve formelle que Suzana ait voulu nuire à Isabelly. Ils insistent sur le fait que l’accident ne découle que d’une imprudence.

Actuellement, la situation juridique de Suzana est préoccupante. Le 14 janvier, elle a été mise en examen pour homicide volontaire. Son avenir judiciaire dépend désormais de la décision d’un juge, qui devra déterminer si l’affaire ira devant un jury ou sera classée sans suite. Cette affaire tragique interroge non seulement sur la culpabilité de Suzana, mais aussi sur les enjeux de sécurité autour des jeunes enfants. Comment peut-on veiller à la protection de ces êtres vulnérables dans des situations de garde ?

Cette affaire de noyade au Brésil présente des éléments troublants qui méritent une attention particulière. En attendant les décisions judiciaires, cette tragédie rappelle l’importance de la vigilance et de la sécurité dans la prise en charge d’enfants comme cette petite fille. La société brésilienne devra se pencher davantage sur ces questions pour éviter que des tragédies similaires ne se reproduisent. Les prochains mois s’annoncent cruciaux pour Suzana Dazar dos Santos et pour la mémoire d’Isabelly Oliveira Assuncao.

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