Dans son livre récemment publié, Mike Rinder, ancien membre influent de la Scientologie, apporte un éclairage inattendu sur des aspects sombres de l’Église. Il y décrit notamment les efforts de la Scientologie pour dissimuler l’homosexualité présumée de John Travolta.
Ces révélations soulèvent des questions inquiétantes sur le contrôle exercé par l’Église et les conséquences pour ses membres.
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Des allégations troublantes
Rinder ne mâche pas ses mots. Il affirme avoir été témoin de moments intimes entre John Travolta et un masseur. Selon lui, ces interactions dépassent le cadre de l’amitié.
Malgré cela, Travolta, qui a partagé sa vie avec l’actrice Kelly Preston, a toujours maintenu une image d’hétérosexualité. Cela soulève des interrogations sur le poids des rumeurs dans l’univers de la célébrité.
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L’Église de Scientologie a réagi avec ferveur. Elle a lancé des campagnes de relations publiques, tout en intentant des procès pour étouffer ces rumeurs.
Leur objectif ?
Protéger l’image de Travolta en tant qu’homme de famille. L’Église redoute que ces allégations nuisent à sa réputation et à celle de ses membres.
Travolta, bien qu’entaché par ces soupçons, continue de bénéficier d’une image favorable dans les médias. Cela soulève des questions sur les liens entre célébrités et institutions religieuses.
L’influence de l’église
Les révélations de Rinder mettent en lumière le pouvoir que la Scientologie exerce sur ses membres. Des figures emblématiques comme John Travolta semblent victimes d’une véritable stratégie de contrôle.
Kelly Preston, feu sa femme, aurait été au courant des rumeurs, mais cela ne l’a pas empêchée de demeurer loyale à son mari.
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Influencée par les enseignements de l’Église, elle aurait choisi de balayer ces allégations d’un revers de main.
L’allégeance de Travolta à la Scientologie a sûrement renforcé son secret, mais cela pose un dilemme.
Pourquoi Travolta a-t-il choisi de maintenir cette façade ?
Peut-être que la peur des répercussions a joué un rôle majeur. Sinon, comment expliquer le silence autour de ces accusations pendant des décennies ?
Les anciens dirigeants de la Scientologie insistent sur le fait que la manipulation de l’information est courante. Cela fait partie d’une stratégie plus large de l’Église pour maintenir une image de perfection.
L’histoire de Travolta illustre ce phénomène. Alors que le monde extérieur critique, la Scientologie protège ses membres des rumeurs avec une poigne de fer.
Les révélations de Mike Rinder appellent à une réflexion profonde sur la dynamique au sein de la Scientologie.
Le cas de John Travolta est symptomatique d’un système où la vérité et les apparences sont souvent en conflit.
L’Église fait tout pour préserver sa réputation, au détriment parfois de ses membres. Ce livre est un appel à l’éveil pour ceux qui souhaitent comprendre les enjeux de la célébrité et de la religiosité.
Les secrets ne resteront peut-être plus longtemps enterrés.
